DJIBOUTI
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Jour 248 du lynchage du Régime Issa de Gouled/Guelleh. Le Cassage Périodique des Afar par le Régime Issa de Gouled/Guelleh continue. Ahmed Mohamed Houmed arrêté arbitrairement à Obock la semaine du 12 Juin 2017. Ouma Mohamed Deberkaleh, l'épouse d'un combattant du FRUD en prison pour un crime d'affiliation marital aux Allentour du 07/05/17. Le Régime Issa de Gouled/Guelleh a procédé à des vague d'arrestations plus de 170 personnes, hommes, femmes, vieillards, enfants. Pas de pitié pour les canards boiteux Afar. Même en ce moment, la chasse à l'Afar et les arrestations continuent des plus belles. Le Sultan Houmed de Tadjourah et son Vizir AHMED en vacance en Belgique sont sous silence radio. Je me demande qui ils représentent. Pourquoi ils ne bronchent pas pour leur concitoyens qui payent leur Qissos " taxes à eux chaque années ou à chaque appel. Le 17, 18 et 21 Avril 2017 des séries d'Arrestations Arbitraires se sont déroulées à Ardo, pétit village de la localité de Tadjourah et à Tadjourah. Selon les informations sûres et concordantes recueillies par la LDDH AHMED DAOUD OMAR arrêté le 18 Avril 2017 et son épouse Madame FATOUMA IDRISS ALI arrêté le 21 Avril 2017 sont toujours détenus dans la Gendarmerie de Tadjourah. Deux autres jeunes de Tadjourah ont été arrêtés le 18 Avril 2017. AHMED OMAR DAOUD MOHAMED ALI HALOYTA. Personne ne sait ce qui leur est reprochés comme pour les autres. La semaine du 22 Mai 2017,une vague d'arrestations est lancée par le Régime ISSA de Gouled/Guelleh. Bien sûr, c'est un autre cas flagrant de l'arbitraire du Régime Issa de Gouled/Guelleh contre les Afar. C'est pour exercer, le cassage périodique que Lynch conseille de pratiquer pour garder la peur constante que le Régime du Dictateur Guelleh doit arrêter ces gens innocents. S'ils avaient fait quelque chose, ils auraient comparus devant la Justice. Cette Dictature n'a même pas de foi en sa propre Justice pour faire comparaître ces gens devant elle. Nous l'avons vu dans le cas de Jabha où la Justice Djiboutienne a demandé qu'on le relâche. Même la Justice du pays dénonce l'arbitraire du Régime Issa de Gouled/Guelleh. Quand est-ce que le Sultan de Tadjourah et Son Vizir vont condamner l'arbitraire du Régime ISSA de Gouled/Guelleh contre ses concitoyens? Ahak Aysuk Mohamed Hassan Fln Xuko Cina ( Baxi nagreh meqem baxo )
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Jour 1071 en détention et sans un procès: Ahmed Ali Harsa prit en otage avec la version du TPLF de "Jamais Deux sans Trois." Le régime pariah du TPLF, Une fois encore rate une échéance pour faire comparaître AHMED Ali Harsa, comme promis, devant une Cour de Justice. C'est le troisièmeajournement. Encore une fois, un déni de Justice qui équivaut à une torture psychologique de notre compatriote. Le premier ajournement a été décidé, le 06 Septembre 2016, d'un mois et vingt jours ( 50 jours ). Le procès devait avoir lieu le 26 Octobre 2016. Le 22 Novembre 2016, le régime du TPLF decide d'un second ajournement de 45 jours. C'est à dire jusqu'au Vendredi 06 Janvier 2017. Le Vendredi 06 Janvier 2017, c'était la dernière date boutoire pour un procès. Nous contemplons un nouvel ajournement de sa comparution devant la Justice éthiopienne. Encore fois, cette Justice n'a pas respectée un délai fixé par elle-même. C'est un acte délibéré de torture psychologique pratiqué par les régimes dictatoriaux par manque de Justice indépendante. Nous avons eu le même processus avec notre compatriote Mohamed Ahmed dit Jabha, en prison, depuis Mai 2010 à Djibouti. Dans le cas de Jabha ( sous constante torture et isolation depuis Mai 2010 ), le régime dictatoriale Issa de Guelleh a réfusé d'appliquer la décision de la Haute Cour d'Appel de Djibouti de libérer Jabha. Récemment, Mars 2017, Jabha a été empoisonné en prison. Jabha a été condamné à 15 années de prison le 18 Juin 2017. Une sentence carcérale à mort si l'on tient de l'état de sa santé due à la torture constante et privation des soins depuis sept années. En moins de deux mois, cet sentence de mort a été exécuté par le Régime Issa de Gouled/Guelleh. Jabha décède le mercredi 2 Août 2017 dans l'Après-midi à l'hôpital. Le Régime a réfusé le corps de Jabha à sa famille pour faire pression sur eux de ne pas contester la cause de son décès c'est-à-dire l'empoisonnement. Il a été inhumé le Jeudi 10 Août 2017 au cimetière du PK12. Par contre le corps du docker Mohamed Hamadou Hamad torturé et battu à mort par la Police est toujours à la morgue. Les autorités avance la thèse d'une mort naturelle. Une thèse que la famille réfute catégoriquement. Comme chantage les autorités refusent à la famille de la victime de faire une investigation et à une autopsie. Sur son lit de mort Mohamed Hamadou Hamad a nommé son assassin, le Sergeant Ibrahim Ali Ibrahim du Commissariat du Port ( PAID ). Le Sergeant bourreau a énté décoré et promu pour le meurtre de Mohamed Hamadou Hamad. Encouragé par son immunité, le bourreau Îbrahïm Ali Ibrahim a arrêté le cousin de sa victime, l'a emmené au Commissariat d'Arhiba, pour faire pression sur la famille d'accepter la thèse de la mort accidentelle de Mohamed Hamadou Hamad. La population et la famille ayant eu vent de cette arrestation arbitraire se sont rassemblés pour demander sa Libération. Avant qu'il soit transféré vers un centre de torture et subisse le sort de feu Mohamed Hamadou Hamad. La Police tire sur la foule à balles réelles. Plus de 16 blessés évacués vers les hôpitaux. La Police procèda à leur arrestations. Nous sommes toujours sans nouvelles. Le pire est à craindre avec un Régime qui pratique la torture à outrance. Deux régimes TPLF ( Tigré ) et RPP ( ISSA ) en connivence pour "Casser" l'Afar et se partager sa terre. Le régime du TPLF détient Ahmed Ali Harsa, injustement plus de 1071 jours, en le privant de tous ses droits, tenu en isolation et privée même de toute visite familiale. Ci-dessous sont les vrais raisons de sa détention: Nous savons tous qu'Ahmed Ali Harsa croupit dans les prisons éthiopiennes injustement. Son seul crime, c'est d'avoir voulu gagner sa vie décement pour subvenir à son besoin et à celui de sa famille ( une femme et Dix enfants ). Les deux mafia à Djibouti et en Ethiopie sont derrière son incarcération pour une raison crapuleuse. Le clientelisme éthnique en exergue dans les deux pays par les Issas à Djibouti et les Tigrés en Éthiopie ne tolère aucune compétition des autres groupes éthniques dans les deux pays. Pour eux toute veilleité de concurrence des autres doit être écrasée. Les autres communautés doivent rester dans la pauvreté économique pour exercer leur domination. Les autorités Djiboutiènnes et Éthiopiennes sont de conivence dans l'arrestation de notre compatriote. Il n y a rien de fortuit dans son incarcération. Le Gouvernement Djiboutien ne va pas lever le pétit pouce pour l'aider. Un Afar qui veut se reléver économiquement est dangereux pour le Gouvernement Issa d'Ismaïl Omar Guelleh. Donc il faut qu'il croupisse dans les prisons éthiopiennes pour dissuader les autres. Nous exigeons sa libération immédiate. #FreeMohamedAhmedJabha #FreeAhmedAliHarsa #FreeNafissaHamad #The Source of Denial River ( denials of free speech, Press, Multi-partyisme, Fair trial, Right to employment.... ) is in TPLF Ethiopia NOT in Egypt! DAM(N) it!!!! #The Source of Denial River is in TPLF Ethiopia NOT in Egypt!!!! Mohamed Hassan fln Xuko Cina ( Baxi nagreh meqem baxo ) Jour 189 de détention Irok Oba waydarat baxo tibireh Bâté ( ville Afar perdu en Éthiopie ) et Tadjourah même destin. Le masque vient de tomber sur l'Affaire du Port de Tadjourah. L'invasion sans soldats, et sans coup de feu vient de se confirmer. Préparez-vous au choc de votre vie! Le Régime ISSA de Gouled/Guelleh, les Qagabas, le Sultan Abdoulkader Houmed, le Vizir Ahmed Chehem et le Miglis vous ont trompés. L'effectif du Port de Tadjourah n'est pas de 120 personnes, mais de plus 1000 personnes, seulement 11 de Tadjourah. Bientôt l'Armée du TPLF va venir s'installer à Tadjourah et ses régions sous le prétexte de protéger le Port et ses installations contre l'Erythrée. Ils vont aussi amener leur propre effectifs et leur familles pour administrer le Port et protéger le corridor Tadjourah, Balho, Mekellé ( la Capitale du Tigré ). Pendant ce temps les jeunes Tadjou( ROIS ) sont jetés en prison pour avoir osé demander du Travail en préférence aux candidats originaire du Somaliland et d'Ethiopie. La même raison pour laquelle Nafissa Hamad est en prison 280 jours. Un milliers d'entre eux, sans compter leur familles et les Soldats Tigréens, leur logistique et leur familles. Les Tadjou ( ROIS ) d'un coup de baguette magique sont minoritaire sur leur sol. Les emplois de cadres, l'économie, le commerce de Tadjourah aussi, est sur le point d'être contrôlé par les vrais "Irok Oba "Waydarat" des anciens Tigrés" envahisseurs que Tadjourah prophétisaient depuis des années. Nous avons appris de source très sûre qu'une vingtaine d'autres jeunes sont en prisons ou en fuite, ces personnes, Ali Hassan Ali, Mohamed Ali Issa, Ali Chehem Ali sont confirmés comme détenues par la gendarmerie de Tadjourah. La femme et les enfants d'Ali Chehem Ali ont été battus violement pendant son arrestation. Je conseille à ceux qui sont en fuite et tous les jeunes de joindre le FRUD dans le maquis. La déclaration de la guerre est maintenant totale. Le combat pour notre existence doit commencer sans état d'âme. Qui est ce qui a vendu Tadjourah et sa jeunesse? Les Qagabas vous allez-me dire! Non! Ils n'ont aucun pouvoir. La culpabilité réside avec le pouvoir traditionnel de Tadjourah actuel. Le Sultan Abdoulkader Houmed, le Vizir Ahmed Chehem et le Miglis. Je ne vais pas déroger à mon franc-parlé. Ce qui va suivre ne va pas plaire à ceux qui sont malade à l'intérieur. Ne soyez pas de ceux dont Allah Azawajal a dit dans le Saint Coran Sourate 2 Al Baqara verset 10: "Il y a dans leurs cœurs une maladie ( de doute et d'hypocrisie ) et Allah laisse croître leur maladie. Ils auront un châtiment douloureux, à cause de leur mensonges." Oubliez-un instant que c'est un Afar, "Adoyamarah", Badoyta mela, Aïdamani, Hamodadi" qui vous parle mais un frère qui s'inquiète pour son devenir et le votre. Comme le dit Molta Mafaxa: "nanu inki numih xariyo, nanu inki sagah subaca, nanu inki carah ramido." Qasbo ke naqossay elle amuk sugne nek Farangi, Tigré ke Qissi beyassiteh. Assaku Qafar exe tan calatak elle aninanih ikel, migaq inki keh orbeleh. Inki tan Qafarah Orbeleh. Qaybi Kadu inkih tan Qafarah orbeleh. Migag Qissih orbek Kadu, Camadi Yayok kadih arcuwam "ubukya Qidih abeh, migaq Qissih orbisseh" biyak yok wali heh rabih camdu gacsa anu. Ce message qui suit ne s'adresse pas seulement au Sultanat de Tadjourah, mais aussi aux Debnés et Adorassous et autres ethnies Sultanat du Gobbaad, Obock et bien au-delà sur la terre des Afar. Je vous prend tous à témoin devant Allah, en ce Mois bénit du Ramadan. Je m'adresse directement aux Bourhantos et Dinités et les autres éthnies qui forment l'Alliance du Sultanat de Tadjourah. Une lignée qui a commencé en 1450 avec le Grand Sultan Asa Kamil est sur le point de disparaître avec votre silence et complicité. Le moment est grave Messieurs vos enfants sont traités comme des citoyens de seconde, voire bientôt de troisième classe, des futur domestiques au service des Irok Oba étrangers alors que quelqu'un né, en Éthiopie et Somalie, a la priorité d'embauche sur eux, dans leur propre fief de Tadjourah. Un Irok Oba Éthiopien et Somalien est préféré à vos enfants. Il est grand temps pour vous de challenger les Sultan Abdoulkader Houmed et le Vizir Ahmed Chehem et le Miglis. Sinon votre dynastie qui a commencé avec le Sultan Asa Ķãmïl à l'époque de l'apogée de l'Islam, est sur le point de disparaître avec le Sultan Abdoulkader Houmed et le Vizir Ahmed Chehem comme dernière lignée. Je vais finir ces lyrics d'avertissements de Molta Mafaxa: Qisa ke Tigré neh malisseh labhay: Caba Garci manga siinih maloonuk Je vais finir avec ces lyrics d'avertissements de Molta Mafaxa: MAFARA MAHAMAD LAALE UGUTA ITTIKIYÁ Uguta Ittikiyá, Cata Sini Baaxó Kacnoytá ceelaa, Naqboyti mangóh Sin niqbam Inqiibay ittikiyá Sin kicnam ikciinay baaxi dowwa Axaqalle tikyay, axaqalle baaxó Neh kuuxe waanam, Ni Rassih maqaane Caba Garci manga siinih maloonuk Sinik Rakiibo takkem kataata Sahita itta siinil Qaku takku waamak Ossobbá sinni Rasi sittá baysaa Sitta essekexxay, Kattaata sittaa Sin asaaku baaxóo, Galtot wagittá Ni ayyunti kaadu, Siinil Kibal le Kibal elle lon horay baadi dowwaa Uguta ittikiyaa, Uguta Uguta Ugutáa Uguta ittikiyyay, Cata sinni baaxó Uguta ittikiyyaa, Uguta Uguta Ugutáa Uguta ittikiyyay, Cata sinni baaxó Isin ittikiyya, Wakali ittah akkuk Isin ittikiya Kibal ittal aalluk Ni silicca ne eddee Beedi urri gaadam Nii ikoyta Xaylóo Buxal eddé maysam Nek raaqisam faaxam, Baaxo Beedi Beedi elle neh malsem iginnoh ikkal Namma Inti siinik, xin abak mananná Qafarak Gubunuut cikseh xaleyyó Furraynul Ayti baalah mudeyyo iyyeh wohu elle beedayti malsem Yah anaa Qafar Baaxaa GeAexan awká Abdan ni Gubnaa, Ciksam maduuda Nek Baaxó raaqisaanam mayaliilan Isin Ayti Kibbii haay ittikiyaá Uguta ittikiyyaa, Uguta Uguta Ugutá Uguta ittikiyyay, Cata sinni baaxó Uguta ittikiyyaa, Uguta Uguta Ugutá Uguta ittikiyyay, Cata gexxa baaxó Isin ittikiyya, Wakali ittah akkuk Isin ittikiyya, Qokol ittah akkuk Num kah faxam, midir baaxó leemi Kah abam Qasaala, Xixxar agaagá Maca Xiqta, yadda rem, baaxó wee num Macah aamanah xaala, baaxó wee num Num yadderemih, xirbis xalaamah Marâ lih cabenim, maa rin gadda takké Qayxixxu hinnaa, isi baaxó wee num Raba way magaq maa li, Baaxó wee num Yani way migaq maa lii, Baaxó wee num Num gaxxali elle yakkem le baaxó Reeda elle yallu, duumdam le baaxó Agiru elle yakkúu, dudam le baaxó Baxa nagriseh mee qem, Baaxó labhaay Uguta ittikiyyay, Cata baaxó gexxeh Isin ittikiyya, Wakali ittah akkuk Isin ittikiyya, Kibal ittal aalluk Kacnoyta ceelaa, Naqboyti mangohuk Sin niqbam Inqibay baadi dowwa le baaxó Reeda elle yallu, duumdam le baaxó Agiru elle yakkúu, dudam le baaxó Baxa nagriseh mee qem, Baaxó labhaay Uguta ittikiyyay, Cata baaxó gexxeh Isin ittikiyya, Wakali ittah akkuk Isin ittikiyya, Kibal ittal aalluk Kacnoyta ceelaa, Naqboyti mangohuk Sin niqbam Inqibay baadi dowwa Uguta ittikiyyaa, Uguta Uguta Ugutáa Uguta ittikiyyay, Cata sinni baaxó Uguta ittikiyyaa, Uguta Uguta Ugutá Uguta ittikiyyay, Cata baaxó gexxeh Isin ittikiyya, Wakali ittah akkuk Isin ittikiyya, Kibal ittal aalluk Kacnoyta ceelaa, Naqboyti mangohuk Sin niqbam Inqibay baadi dowwa Ahak Aysuk Mohamed Hassan Fln Xuko Cina ( Baxi nagreh meqem baxo ) #The Source of Denial River ( denials of free speech, Press, Multi-partyisme, Fair trial, Right to employment.... ) is in TPLF Ethiopia NOT in Egypt! DAM(N) it!!!! #The Source of Denial River is in TPLF Ethiopia NOT in Egypt!!!! Le Régime a réfusé le corps de Jabha à sa famille pour faire pression sur eux de ne pas contester la cause de son décès c'est-à-dire l'empoisonnement. Il a été inhumé le Jeudi 10 Août 2017 au cimetière du PK12 sans autopsie et investigation. Justice pour Mohamed Hamadou Hamad torturé et battu à mort. Par contre le corps du docker Mohamed Hamadou Hamad torturé et battu à mort par la Police est toujours à la morgue. Les autorités avance la thèse d'une mort naturelle. Une thèse que la famille réfute catégoriquement. Comme chantage les autorités refusent à la famille de la victime de faire une investigation, de procéder à une autopsie et la possibilité de l'enterré. Sur son lit de mort Mohamed Hamadou Hamad a nommé son assassin, le Sergeant Ibrahim Ali Ibrahim du Commissariat du Port ( PAID ). Le Sergeant bourreau a été décoré et promu pour le meurtre de Mohamed Hamadou Hamad. Encouragé par son immunité, le bourreau Îbrahïm Ali Ibrahim a arrêté le cousin de sa victime, l'a emmené au Commissariat d'Arhiba, pour faire pression sur la famille d'accepter la thèse de la mort accidentelle de Mohamed Hamadou Hamad. La population et la famille ayant eu vent de cette arrestation arbitraire se sont rassemblés pour demander sa Libération. Avant qu'il soit transféré vers un centre de torture et subisse le sort de feu Mohamed Hamadou Hamad. La Police tire sur la foule à balles réelles. Plus de 16 blessés évacués vers les hôpitaux. La Police procèda à leur arrestations. Nous sommes toujours sans nouvelles. Le pire est à craindre avec un Régime qui pratique la torture à outrance. Ces personnes sont toujours détenus par le Régime et sous tortures quand on connais le palmarès de ce régime. Justice pour Omar Ali Iskah empoisonné à mort en Somalie. Le lieutenant Omar Ali Iskah empoisonné, le 05 Août 2017, par le Régime Issa de Gouled, Somalie, un acte d'afaricide de plus. La politique des Long couteaux contre les Afar sous ce Régime se poursuit sans relâche. Ici encore pas d'investigation ou autopsie pour établir les causes du décès. Justice pour Abdo Mohamed Ismaïl torturé et battu à mort. Abdo Mohamed Ismaïl a été arrêté au mois d'Avril 2017 dans la région de Tadjourah. Il est battu à mort et décéde, le 25 Juin 2017 dans le centre de rétention de Nagad, le Centre d'Excellence de la torture du regime Issa de Gouled/Guelleh. Justice pour le pétit Hafiz Mohamed Hassan abattu sur ordre de Jama Zizzi. Le jeune Hafiz Mohamed Hassan, un jeune collégien de 14 ans, est abattu de sang froid par le GIGN, pendant une manifestation pacifique des collégiens qui réclamaient leur Droit à l'éducation, sur ordre de Jama Zizzi, le Ministre de l'Education de l'époque, le 30 Décembre 2017 à Obock. #Justice4Jabha #Justice4MohammadHamadouHamad #Justice4LieutnantOmarAliIskah #Justice4AbdoMohamedIsmaïl #Justice4Hafiz Mohamed Hassan Fln Xuko Cina. ( Baxi nagreh meqem baxo ). Jour 246 du lynchage du Régime Issa de Gouled/Guelleh. Le Cassage Périodique des Afar par le Régime Issa de Gouled/Guelleh continue. Ahmed Mohamed Houmed arrêté arbitrairement à Obock la semaine du 12 Juin 2017. Ouma Mohamed Deberkaleh, l'épouse d'un combattant du FRUD en prison pour un crime d'affiliation marital aux Allentour du 07/05/17. Le Régime Issa de Gouled/Guelleh a procédé à des vague d'arrestations plus de 170 personnes, hommes, femmes, vieillards, enfants. Pas de pitié pour les canards boiteux Afar. Même en ce moment, la chasse à l'Afar et les arrestations continuent des plus belles. Le Sultan Houmed de Tadjourah et son Vizir AHMED en vacance en Belgique sont sous silence radio. Je me demande qui ils représentent. Pourquoi ils ne bronchent pas pour leur concitoyens qui payent leur Qissos " taxes à eux chaque années ou à chaque appel. Le 17, 18 et 21 Avril 2017 des séries d'Arrestations Arbitraires se sont déroulées à Ardo, pétit village de la localité de Tadjourah et à Tadjourah. Selon les informations sûres et concordantes recueillies par la LDDH AHMED DAOUD OMAR arrêté le 18 Avril 2017 et son épouse Madame FATOUMA IDRISS ALI arrêté le 21 Avril 2017 sont toujours détenus dans la Gendarmerie de Tadjourah. Deux autres jeunes de Tadjourah ont été arrêtés le 18 Avril 2017. AHMED OMAR DAOUD MOHAMED ALI HALOYTA. Personne ne sait ce qui leur est reprochés comme pour les autres. La semaine du 22 Mai 2017,une vague d'arrestations est lancée par le Régime ISSA de Gouled/Guelleh. Bien sûr, c'est un autre cas flagrant de l'arbitraire du Régime Issa de Gouled/Guelleh contre les Afar. C'est pour exercer, le cassage périodique que Lynch conseille de pratiquer pour garder la peur constante que le Régime du Dictateur Guelleh doit arrêter ces gens innocents. S'ils avaient fait quelque chose, ils auraient comparus devant la Justice. Cette Dictature n'a même pas de foi en sa propre Justice pour faire comparaître ces gens devant elle. Nous l'avons vu dans le cas de Jabha où la Justice Djiboutienne a demandé qu'on le relâche. Même la Justice du pays dénonce l'arbitraire du Régime Issa de Gouled/Guelleh. Quand est-ce que le Sultan de Tadjourah et Son Vizir vont condamner l'arbitraire du Régime ISSA de Gouled/Guelleh contre ses concitoyens? Ahak Aysuk Mohamed Hassan Fln Xuko Cina ( Baxi nagreh meqem baxo ) Jour 1069 en détention et sans un procès: Ahmed Ali Harsa prit en otage avec la version du TPLF de "Jamais Deux sans Trois." Le régime pariah du TPLF, Une fois encore rate une échéance pour faire comparaître AHMED Ali Harsa, comme promis, devant une Cour de Justice. C'est le troisièmeajournement. Encore une fois, un déni de Justice qui équivaut à une torture psychologique de notre compatriote. Le premier ajournement a été décidé, le 06 Septembre 2016, d'un mois et vingt jours ( 50 jours ). Le procès devait avoir lieu le 26 Octobre 2016. Le 22 Novembre 2016, le régime du TPLF decide d'un second ajournement de 45 jours. C'est à dire jusqu'au Vendredi 06 Janvier 2017. Le Vendredi 06 Janvier 2017, c'était la dernière date boutoire pour un procès. Nous contemplons un nouvel ajournement de sa comparution devant la Justice éthiopienne. Encore fois, cette Justice n'a pas respectée un délai fixé par elle-même. C'est un acte délibéré de torture psychologique pratiqué par les régimes dictatoriaux par manque de Justice indépendante. Nous avons eu le même processus avec notre compatriote Mohamed Ahmed dit Jabha, en prison, depuis Mai 2010 à Djibouti. Dans le cas de Jabha ( sous constante torture et isolation depuis Mai 2010 ), le régime dictatoriale Issa de Guelleh a réfusé d'appliquer la décision de la Haute Cour d'Appel de Djibouti de libérer Jabha. Récemment, Mars 2017, Jabha a été empoisonné en prison. Jabha a été condamné à 15 années de prison le 18 Juin 2017. Une sentence carcérale à mort si l'on tient de l'état de sa santé due à la torture constante et privation des soins depuis sept années. En moins de deux mois, cet sentence de mort a été exécuté par le Régime Issa de Gouled/Guelleh. Jabha décède le mercredi 2 Août 2017 dans l'Après-midi à l'hôpital. Le Régime a réfusé le corps de Jabha à sa famille pour faire pression sur eux de ne pas contester la cause de son décès c'est-à-dire l'empoisonnement. Il a été inhumé le Jeudi 10 Août 2017 au cimetière du PK12. Par contre le corps du docker Mohamed Hamadou Hamad torturé et battu à mort par la Police est toujours à la morgue. Les autorités avance la thèse d'une mort naturelle. Une thèse que la famille réfute catégoriquement. Comme chantage les autorités refusent à la famille de la victime de faire une investigation et à une autopsie. Sur son lit de mort Mohamed Hamadou Hamad a nommé son assassin, le Sergeant Ibrahim Ali Ibrahim du Commissariat du Port ( PAID ). Le Sergeant bourreau a énté décoré et promu pour le meurtre de Mohamed Hamadou Hamad. Encouragé par son immunité, le bourreau Îbrahïm Ali Ibrahim a arrêté le cousin de sa victime, l'a emmené au Commissariat d'Arhiba, pour faire pression sur la famille d'accepter la thèse de la mort accidentelle de Mohamed Hamadou Hamad. La population et la famille ayant eu vent de cette arrestation arbitraire se sont rassemblés pour demander sa Libération. Avant qu'il soit transféré vers un centre de torture et subisse le sort de feu Mohamed Hamadou Hamad. La Police tire sur la foule à balles réelles. Plus de 16 blessés évacués vers les hôpitaux. La Police procèda à leur arrestations. Nous sommes toujours sans nouvelles. Le pire est à craindre avec un Régime qui pratique la torture à outrance. Deux régimes TPLF ( Tigré ) et RPP ( ISSA ) en connivence pour "Casser" l'Afar et se partager sa terre. Le régime du TPLF détient Ahmed Ali Harsa, injustement plus de 1069 jours, en le privant de tous ses droits, tenu en isolation et privée même de toute visite familiale. Ci-dessous sont les vrais raisons de sa détention: Nous savons tous qu'Ahmed Ali Harsa croupit dans les prisons éthiopiennes injustement. Son seul crime, c'est d'avoir voulu gagner sa vie décement pour subvenir à son besoin et à celui de sa famille ( une femme et Dix enfants ). Les deux mafia à Djibouti et en Ethiopie sont derrière son incarcération pour une raison crapuleuse. Le clientelisme éthnique en exergue dans les deux pays par les Issas à Djibouti et les Tigrés en Éthiopie ne tolère aucune compétition des autres groupes éthniques dans les deux pays. Pour eux toute veilleité de concurrence des autres doit être écrasée. Les autres communautés doivent rester dans la pauvreté économique pour exercer leur domination. Les autorités Djiboutiènnes et Éthiopiennes sont de conivence dans l'arrestation de notre compatriote. Il n y a rien de fortuit dans son incarcération. Le Gouvernement Djiboutien ne va pas lever le pétit pouce pour l'aider. Un Afar qui veut se reléver économiquement est dangereux pour le Gouvernement Issa d'Ismaïl Omar Guelleh. Donc il faut qu'il croupisse dans les prisons éthiopiennes pour dissuader les autres. Nous exigeons sa libération immédiate. #FreeMohamedAhmedJabha #FreeAhmedAliHarsa #FreeNafissaHamad #The Source of Denial River ( denials of free speech, Press, Multi-partyisme, Fair trial, Right to employment.... ) is in TPLF Ethiopia NOT in Egypt! DAM(N) it!!!! #The Source of Denial River is in TPLF Ethiopia NOT in Egypt!!!! Mohamed Hassan fln Xuko Cina ( Baxi nagreh meqem baxo ) Jour 187 de détention Irok Oba waydarat baxo tibireh Bâté ( ville Afar perdu en Éthiopie ) et Tadjourah même destin. Le masque vient de tomber sur l'Affaire du Port de Tadjourah. L'invasion sans soldats, et sans coup de feu vient de se confirmer. Préparez-vous au choc de votre vie! Le Régime ISSA de Gouled/Guelleh, les Qagabas, le Sultan Abdoulkader Houmed, le Vizir Ahmed Chehem et le Miglis vous ont trompés. L'effectif du Port de Tadjourah n'est pas de 120 personnes, mais de plus 1000 personnes, seulement 11 de Tadjourah. Bientôt l'Armée du TPLF va venir s'installer à Tadjourah et ses régions sous le prétexte de protéger le Port et ses installations contre l'Erythrée. Ils vont aussi amener leur propre effectifs et leur familles pour administrer le Port et protéger le corridor Tadjourah, Balho, Mekellé ( la Capitale du Tigré ). Pendant ce temps les jeunes Tadjou( ROIS ) sont jetés en prison pour avoir osé demander du Travail en préférence aux candidats originaire du Somaliland et d'Ethiopie. La même raison pour laquelle Nafissa Hamad est en prison 280 jours. Un milliers d'entre eux, sans compter leur familles et les Soldats Tigréens, leur logistique et leur familles. Les Tadjou ( ROIS ) d'un coup de baguette magique sont minoritaire sur leur sol. Les emplois de cadres, l'économie, le commerce de Tadjourah aussi, est sur le point d'être contrôlé par les vrais "Irok Oba "Waydarat" des anciens Tigrés" envahisseurs que Tadjourah prophétisaient depuis des années. Nous avons appris de source très sûre qu'une vingtaine d'autres jeunes sont en prisons ou en fuite, ces personnes, Ali Hassan Ali, Mohamed Ali Issa, Ali Chehem Ali sont confirmés comme détenues par la gendarmerie de Tadjourah. La femme et les enfants d'Ali Chehem Ali ont été battus violement pendant son arrestation. Je conseille à ceux qui sont en fuite et tous les jeunes de joindre le FRUD dans le maquis. La déclaration de la guerre est maintenant totale. Le combat pour notre existence doit commencer sans état d'âme. Qui est ce qui a vendu Tadjourah et sa jeunesse? Les Qagabas vous allez-me dire! Non! Ils n'ont aucun pouvoir. La culpabilité réside avec le pouvoir traditionnel de Tadjourah actuel. Le Sultan Abdoulkader Houmed, le Vizir Ahmed Chehem et le Miglis. Je ne vais pas déroger à mon franc-parlé. Ce qui va suivre ne va pas plaire à ceux qui sont malade à l'intérieur. Ne soyez pas de ceux dont Allah Azawajal a dit dans le Saint Coran Sourate 2 Al Baqara verset 10: "Il y a dans leurs cœurs une maladie ( de doute et d'hypocrisie ) et Allah laisse croître leur maladie. Ils auront un châtiment douloureux, à cause de leur mensonges." Oubliez-un instant que c'est un Afar, "Adoyamarah", Badoyta mela, Aïdamani, Hamodadi" qui vous parle mais un frère qui s'inquiète pour son devenir et le votre. Comme le dit Molta Mafaxa: "nanu inki numih xariyo, nanu inki sagah subaca, nanu inki carah ramido." Qasbo ke naqossay elle amuk sugne nek Farangi, Tigré ke Qissi beyassiteh. Assaku Qafar exe tan calatak elle aninanih ikel, migaq inki keh orbeleh. Inki tan Qafarah Orbeleh. Qaybi Kadu inkih tan Qafarah orbeleh. Migag Qissih orbek Kadu, Camadi Yayok kadih arcuwam "ubukya Qidih abeh, migaq Qissih orbisseh" biyak yok wali heh rabih camdu gacsa anu. Ce message qui suit ne s'adresse pas seulement au Sultanat de Tadjourah, mais aussi aux Debnés et Adorassous et autres ethnies Sultanat du Gobbaad, Obock et bien au-delà sur la terre des Afar. Je vous prend tous à témoin devant Allah, en ce Mois bénit du Ramadan. Je m'adresse directement aux Bourhantos et Dinités et les autres éthnies qui forment l'Alliance du Sultanat de Tadjourah. Une lignée qui a commencé en 1450 avec le Grand Sultan Asa Kamil est sur le point de disparaître avec votre silence et complicité. Le moment est grave Messieurs vos enfants sont traités comme des citoyens de seconde, voire bientôt de troisième classe, des futur domestiques au service des Irok Oba étrangers alors que quelqu'un né, en Éthiopie et Somalie, a la priorité d'embauche sur eux, dans leur propre fief de Tadjourah. Un Irok Oba Éthiopien et Somalien est préféré à vos enfants. Il est grand temps pour vous de challenger les Sultan Abdoulkader Houmed et le Vizir Ahmed Chehem et le Miglis. Sinon votre dynastie qui a commencé avec le Sultan Asa Ķãmïl à l'époque de l'apogée de l'Islam, est sur le point de disparaître avec le Sultan Abdoulkader Houmed et le Vizir Ahmed Chehem comme dernière lignée. Je vais finir ces lyrics d'avertissements de Molta Mafaxa: Qisa ke Tigré neh malisseh labhay: Caba Garci manga siinih maloonuk Je vais finir avec ces lyrics d'avertissements de Molta Mafaxa: MAFARA MAHAMAD LAALE UGUTA ITTIKIYÁ Uguta Ittikiyá, Cata Sini Baaxó Kacnoytá ceelaa, Naqboyti mangóh Sin niqbam Inqiibay ittikiyá Sin kicnam ikciinay baaxi dowwa Axaqalle tikyay, axaqalle baaxó Neh kuuxe waanam, Ni Rassih maqaane Caba Garci manga siinih maloonuk Sinik Rakiibo takkem kataata Sahita itta siinil Qaku takku waamak Ossobbá sinni Rasi sittá baysaa Sitta essekexxay, Kattaata sittaa Sin asaaku baaxóo, Galtot wagittá Ni ayyunti kaadu, Siinil Kibal le Kibal elle lon horay baadi dowwaa Uguta ittikiyaa, Uguta Uguta Ugutáa Uguta ittikiyyay, Cata sinni baaxó Uguta ittikiyyaa, Uguta Uguta Ugutáa Uguta ittikiyyay, Cata sinni baaxó Isin ittikiyya, Wakali ittah akkuk Isin ittikiya Kibal ittal aalluk Ni silicca ne eddee Beedi urri gaadam Nii ikoyta Xaylóo Buxal eddé maysam Nek raaqisam faaxam, Baaxo Beedi Beedi elle neh malsem iginnoh ikkal Namma Inti siinik, xin abak mananná Qafarak Gubunuut cikseh xaleyyó Furraynul Ayti baalah mudeyyo iyyeh wohu elle beedayti malsem Yah anaa Qafar Baaxaa GeAexan awká Abdan ni Gubnaa, Ciksam maduuda Nek Baaxó raaqisaanam mayaliilan Isin Ayti Kibbii haay ittikiyaá Uguta ittikiyyaa, Uguta Uguta Ugutá Uguta ittikiyyay, Cata sinni baaxó Uguta ittikiyyaa, Uguta Uguta Ugutá Uguta ittikiyyay, Cata gexxa baaxó Isin ittikiyya, Wakali ittah akkuk Isin ittikiyya, Qokol ittah akkuk Num kah faxam, midir baaxó leemi Kah abam Qasaala, Xixxar agaagá Maca Xiqta, yadda rem, baaxó wee num Macah aamanah xaala, baaxó wee num Num yadderemih, xirbis xalaamah Marâ lih cabenim, maa rin gadda takké Qayxixxu hinnaa, isi baaxó wee num Raba way magaq maa li, Baaxó wee num Yani way migaq maa lii, Baaxó wee num Num gaxxali elle yakkem le baaxó Reeda elle yallu, duumdam le baaxó Agiru elle yakkúu, dudam le baaxó Baxa nagriseh mee qem, Baaxó labhaay Uguta ittikiyyay, Cata baaxó gexxeh Isin ittikiyya, Wakali ittah akkuk Isin ittikiyya, Kibal ittal aalluk Kacnoyta ceelaa, Naqboyti mangohuk Sin niqbam Inqibay baadi dowwa le baaxó Reeda elle yallu, duumdam le baaxó Agiru elle yakkúu, dudam le baaxó Baxa nagriseh mee qem, Baaxó labhaay Uguta ittikiyyay, Cata baaxó gexxeh Isin ittikiyya, Wakali ittah akkuk Isin ittikiyya, Kibal ittal aalluk Kacnoyta ceelaa, Naqboyti mangohuk Sin niqbam Inqibay baadi dowwa Uguta ittikiyyaa, Uguta Uguta Ugutáa Uguta ittikiyyay, Cata sinni baaxó Uguta ittikiyyaa, Uguta Uguta Ugutá Uguta ittikiyyay, Cata baaxó gexxeh Isin ittikiyya, Wakali ittah akkuk Isin ittikiyya, Kibal ittal aalluk Kacnoyta ceelaa, Naqboyti mangohuk Sin niqbam Inqibay baadi dowwa Ahak Aysuk Mohamed Hassan Fln Xuko Cina ( Baxi nagreh meqem baxo ) #The Source of Denial River ( denials of free speech, Press, Multi-partyisme, Fair trial, Right to employment.... ) is in TPLF Ethiopia NOT in Egypt! DAM(N) it!!!! #The Source of Denial River is in TPLF Ethiopia NOT in Egypt!!!! Le Régime a réfusé le corps de Jabha à sa famille pour faire pression sur eux de ne pas contester la cause de son décès c'est-à-dire l'empoisonnement. Il a été inhumé le Jeudi 10 Août 2017 au cimetière du PK12 sans autopsie et investigation. Justice pour Mohamed Hamadou Hamad torturé et battu à mort. Par contre le corps du docker Mohamed Hamadou Hamad torturé et battu à mort par la Police est toujours à la morgue. Les autorités avance la thèse d'une mort naturelle. Une thèse que la famille réfute catégoriquement. Comme chantage les autorités refusent à la famille de la victime de faire une investigation, de procéder à une autopsie et la possibilité de l'enterré. Sur son lit de mort Mohamed Hamadou Hamad a nommé son assassin, le Sergeant Ibrahim Ali Ibrahim du Commissariat du Port ( PAID ). Le Sergeant bourreau a été décoré et promu pour le meurtre de Mohamed Hamadou Hamad. Encouragé par son immunité, le bourreau Îbrahïm Ali Ibrahim a arrêté le cousin de sa victime, l'a emmené au Commissariat d'Arhiba, pour faire pression sur la famille d'accepter la thèse de la mort accidentelle de Mohamed Hamadou Hamad. La population et la famille ayant eu vent de cette arrestation arbitraire se sont rassemblés pour demander sa Libération. Avant qu'il soit transféré vers un centre de torture et subisse le sort de feu Mohamed Hamadou Hamad. La Police tire sur la foule à balles réelles. Plus de 16 blessés évacués vers les hôpitaux. La Police procèda à leur arrestations. Nous sommes toujours sans nouvelles. Le pire est à craindre avec un Régime qui pratique la torture à outrance. Ces personnes sont toujours détenus par le Régime et sous tortures quand on connais le palmarès de ce régime. Justice pour Omar Ali Iskah empoisonné à mort en Somalie. Le lieutenant Omar Ali Iskah empoisonné, le 05 Août 2017, par le Régime Issa de Gouled, Somalie, un acte d'afaricide de plus. La politique des Long couteaux contre les Afar sous ce Régime se poursuit sans relâche. Ici encore pas d'investigation ou autopsie pour établir les causes du décès. Justice pour Abdo Mohamed Ismaïl torturé et battu à mort. Abdo Mohamed Ismaïl a été arrêté au mois d'Avril 2017 dans la région de Tadjourah. Il est battu à mort et décéde, le 25 Juin 2017 dans le centre de rétention de Nagad, le Centre d'Excellence de la torture du regime Issa de Gouled/Guelleh. Justice pour le pétit Hafiz Mohamed Hassan abattu sur ordre de Jama Zizzi. Le jeune Hafiz Mohamed Hassan, un jeune collégien de 14 ans, est abattu de sang froid par le GIGN, pendant une manifestation pacifique des collégiens qui réclamaient leur Droit à l'éducation, sur ordre de Jama Zizzi, le Ministre de l'Education de l'époque, le 30 Décembre 2017 à Obock. #Justice4Jabha #Justice4MohammadHamadouHamad #Justice4LieutnantOmarAliIskah #Justice4AbdoMohamedIsmaïl #Justice4Hafiz Mohamed Hassan Fln Xuko Cina. ( Baxi nagreh meqem baxo ). Jeudi 21 Decembre 2017. Deuxième anniversaire du Massacre de Buldhuqo. Le compte à rebours du Massacre d'Arhiba, L'Oradour-sur-Glane des Afar, du Mercredi 18 Décembre 1991: 18 décembre 2017, 26ème anniversaire du massacre d’Arhiba à Djibouti Depuis l'accension au pouvoir des Régimes Issas de Gouled /Guelleh, le 27 Juin 1977, les massacres des civils Afar n'ont jamais cessé dans le nord et le sud du pay. Voir ci-dessous la listes des localités et des victimes.
Le Mercredi 18 décembre 1991 reste à jamais gravé dans la triste mémoire de la République de Djibouti. Les Forces combinées de répression interne du Régime Gouled/Guelleh, l'Armée Nationale Djiboutienne, Force Nationale de Sécurité et Gendarmerie Nationale ont menés une opération militaire contre les civils du quartier populaire Arhiba, (habité par les Afar), représailles à une défaite des troupes gouvernementales dans le Nord face au FRUD. Un Bilan très lourd : 59 personnes executées et 88 autres blessées. Un crime prémédité au plus haut échelon du régime. Ce crime de guerre demeure toujours impuni 25 années plus tard. Voilà un extrait des faits historiques d'AlwihdaInfo ( http://www.alwihdainfo.com/Djibouti-Le-massacre-meconnu-d-Arhiba-un-crime-de-guerre-demeure-impuni_a13918.html ) de ce crime de guerre. Sur ordre d'Ismaël Omar Guelleh, l'actuel président de Djibouti, ce massacre était en fait une expédition punitive menée contre la population Afar de ce quartier, pour lui faire payer les pertes causées aux forces armées par la rébellion du Front pour la restauration de l’unité et de la démocratie (FRUD). Rappel des faits historiques : 6H00 du matin, le quartier d’Arhiba est totalement investi et encerclé par les forces armées djiboutiennes coalisées dans une action militaire sans précédent à Djibouti-ville d’environ 400 personnes en armes et équipements de guerre. Alors que l’essentiel des troupes d’assaut est placé en position de tir dans les tranchées, dans les tanks, sur des Jeeps et sur des vedettes, le groupe des policiers Afars sans armes munis de gourdins, est chargé de convaincre leurs frères de sang avec lesquels ils engagent le dialogue. Parallèlement, les « crânes rasés » issus de la mobilisation générale vident tous les civils de leurs cases en cartons et les rassemblent sur le terrain vague. 7H00 : Les premiers lève-tôt d’Arhiba II, sortis de chez eux sont aussitôt embarqués dans des camions mis à la disposition des forces de l’ordre par les entrepreneurs privés qui se trouvent alignés au sud du quartier. Après triage, le groupe ciblé est isolé du reste et une partie est embarquée dans un premier camion. 7h15 : les rafles continuent. Les forces armées tirent de leurs huttes, hommes, femmes et enfants, les regroupent par dizaines en les faisant asseoir parterre, et une fois le nombre suffisant pour contenir un camion, le chauffeur approche du secteur et l’on embarque tout le monde. La cité étant étendue sur 3 à 4 km, une scène identique à celle ci se déroule à plusieurs endroits, couvrant ainsi, tout Arhiba II. 7h30 : Sur un des « points de’ rassemblement » d’Arhiba II, certaines personnes ne se contentant pas de l’explication facile donnée par les hommes en uniforme selon laquelle il ne s’agirait que d’une simple “vérification d’identité”, elles voudraient comprendre et demandent des explications. Ne pouvant supporter plus longtemps cette situation macabre, un policier Afar se détache du rang, dans un dernier élan de solidarité ethnique, déconseille vivement aux futures victimes de se laisser déporter en demandant d’opposer une résistance passive. Pour son geste, il sera sommairement abattu par ses collègues de la FNS au cours de la fusillade. Voyant leur plan dévoilé et devant le refus des civils de monter dans le camion, les forces armées s’apprêtent dès ce moment, à tirer sans sommation sur tout ce qui bouge. Ayant remarqué des mouvements qui contrarient le plan initialement établi, les forces armées qui s’étaient préparées à l ‘éventualité d’une réticence de la part des civils, reçoivent l’ordre d’exécuter sur place leur plan : l’acte d’extermination qu’elles devaient accomplir ailleurs. Elles ouvrent le feu sans sommation sur une foule sans défense (femmes, enfants, vieillards) qui tombe comme des mouches, tués à bout portant. Dès les premières rafales, une panique folle s’empare très logiquement de toute la population d’Arhiba II et aux quatre coins de la cité, loin de contenir, les forces de l’ordre tirent à vue. La chasse à l’Afar commence, un déluge de feu s’abat sur les civils, une course poursuite abominable s’organise. À pied ou en véhicule tout terrain, les forces de l’ordre s’en donnent à cœur joie. "Un safari humain. » FAIT ÉLOQUENT Trois policiers, Kalachnikov aux poings, font irruption dans l’École Primaire Public d’Arhiba dont le Directeur est sommé sous la contrainte par un vif et bref échange de propos, de faire sortir ces classes les élèves (probablement pour les exposer au carnage prévu). Le Directeur de l’École n’a pas manqué, malgré la menace, de leur faire observer qu’il y va de sa responsabilité professionnelle de mettre en sécurité les élèves et qu’il ne peut satisfaire leur dangereuse requête aussi longtemps que les armes ne se seront pas tues à Arhiba. Pendant ce temps, les deux autres policiers s’introduisent dans les classes où ils n’hésitent pas à tirer plusieurs rafales créant une panique généralisée tant parmi les enseignants que parmi les élèves qui fuient à toutes jambes. 7h45 : Un hélicoptère de l’armée française survole les lieux du massacre, panique cette fois coté tueurs, par la crainte des caméras que les Français n’ont certainement pas manqué de sortir pour un tel flagrant délit. Au premier passage, les tireurs cessent la fusillade, certains ont le ridicule réflexe de se cacher derrière les maisons, mais continuent à pourchasser les rescapés dès que le Puma s’éloigne. Au second passage, les “chasseurs” décident de se retirer et maquillent le chiffre réel du carnage en s’empressant d’entasser dans deux camions un maximum de cadavres. Combien de morts ? Impossible à dire avec précision, les témoins oculaires les plus optimistes chiffrent à 50 cette cargaison funeste. Le convoi se dirige vers la ville, les hommes en uniforme quittent enfin Arhiba. 8H00 : Les habitants d‘Einguela constatent que le terrain vague des Salines qui s’étend au Nord d’Arhiba est lui aussi quadrillé par les hommes de la FNS, à la hauteur du chantier saoudien jusqu’aux Théâtres des Salines. Toutes les routes menant à Einguela sont bloquées par les agents de la circulation et ni piétons ni véhicules ne passent. Certains observateurs constatent qu’un long convoi de véhicules militaires qui assure l’encadrement, se dirige vers le secteur bouclé. BILAN DU MASSACRE 33 corps abandonnés sur le terrain vague, 7 personnes décédées à l’hôpital Peltier le lendemain des suites de leurs blessures, 7 corps retrouvés le 19 en mer à marée basse, 12 corps que les forces de l’ordre ont emportés, Soit un total de 59 morts dont 47 ont été enterrés. LISTE DES PERSONNES DISPARUES LE 18.12.1991 1. HAMAD IBRAHIM SAID 2. YASSO KATHE ALI 3. ALI IBRAHIM MOURRA 4. NIBALLEH ADEN MOHAMED 5. DAOUD MOHAMED ALT 6. ABDALLAH HANAD OMAR 7. SAID HAMADOU GAAS LISTE DES PERSONNES TUÉES LORS DU MASSACRE D'ARHIBA Corps découverts sur place 1. ALI ADAM AHMED 2. AHMED MOUMINE BAGUILA 3. HABILE MOUMINE BAGUÏLA 4. GANIBO IBRAHIM YASSO 5. ALI MOHAMED WEO 6. ADAM DIHIBO MOUSSA 7. MOHAMED ALI OMAR 8. ALI ALELOU ASSOWE 9. BERO DAOUD ANGADE 1O.OMAR MOHANED KABADE 11.ABDALLAH YAYO IBRAHTM 12.HASSAN ALI ABOUBAKER 13.MALIK ALI MAHAMED 14.HASSAN ABDOU ABOUBAKER 15.ALI ABDALLAH GOURATE 16.SABOLI ABDALLAH GAAS 17.ALI KABIR MANDEITOU 18.NOUMANE MOHAMED ABDALLAH 19.ALI SATD MOHAMED 20.MAHAMED MOUSSA WAAYE 21.ALI HOUSSEIN HARSSOU 22.ALI CHEIKO HAMAS 23.ADAM CHEIKO HAMAD 24.MOHAMED ALI HOUSSEIN 25.HASSAN FILADERO HASSAN 26.IDRISS LALE ALI 27.MOHAMED OSMAN IBRO 28.OSMAN MOHANED IBRO 29.SAADA AHMED 3O.ALI ARERO ALI 31.MISERA BOUCHRA CHOUMA 32.SALIHA MOHAMED ALT 33.ALI ADAM ALI Personnes retrouvées à marée basse 34.HOUSSEIN IBRAHIM MOHAMED 35.KILO YASSIN ALI 36.MAHAMEISSE DINBIHISSE ALI 37.ALI HAMAD DOULA 38.HERE ALI YASSO 39,FOSSEYA MOHAMED OSMAN 40.HASNA SAID MOHAMED Personnes retrouvées à l’hôpital Peltier 41 OSMAN YOUSSOUF 42.HASSAN HAMID 43 ABDOULKADER MOHAMED ISSA 44.ARISSO ONDE ARISSO 45.MOHAMED MOUSSA MOHAMED 46.MOHANED ALI AHMED 47.MOHAMED HOUMED MOHAMED N.B. Les impacts de balles relevés sur les blessés nous autorisent à penser qu’il y avait plusieurs groupes de tireurs et que nombreuses étaient les personnes en train de fuir lorsqu’elles ont été atteintes par les projectiles. Ainsi, 50 % des survivants sont atteints au dos, 30% de face et 20 % de côté. De plus, il a pu être dénombré environ 300 blessés dont 70 seulement furent admis à Peltier, une dizaine à l’hôpital militaire français alors que les autres ont été soignés par leurs propres familles de peur de représailles éventuelles. Liste non exhaustive des principaux artisans de ce crime : Hassan Gouled Aptidon (président), Ismaël Omar Guelleh (IOG), Lieutenant-Colonel Yacin Yabeh (Chef de la police), Lieutenant Colonel Zakaria Cheik Ibrahim (chef de corps du CCO), Elmi Abaneh (Commandant de la force navale), Colonel Hoch Robleh Idleh (chef de corps de la Gendarmerie nationale), Hassan Saïd (sous-directeur du SDS et adjoint direct d'IOG), Commandant Mahdi Cheik Moussa (Chef de l’Escadron présidentiel). Source : ARDHD Association pour le Respect des Droits de l'Homme. A cette liste s'ajoute d'autre 18 decembre perpetree par les milices dans l 'arriere pays (nord et sud ), il ne faut pas aussi les oublier voici une liste non exhautive des victimes civiles 2°) District de Dikhil Massacre de KARTA :19 decembre 1991 1-Gohar Hamadou Med 2-Moumina Mohamed Barkat 3-Alboli Gohar 4-Assia Hammadou Ali 6-Saida Ahmed Cheiko 7-Aicha Houmed Ahmed . 3)District de Tadjoura Juillet 93 -septembre 1993 1-Hamadou Abdallah 2-Hassan Mohamed Ali 3-Mohamed Ahmed 4-Abyaazid Youssouf 5-Fatouma Dileita 6-Houmed Gouda Hera 7-Mohamed Isse Youssuf 8-Ali Hassan Daoud 9-MohameAli Gueda 10-Mohamed Ali Ahmed 11--Adlao Med Bolok 12 -Ali Abdallah 13-Ali Dimbio 14-Kamil Houmed Soule 15-Abakri Gadito Ali 16-Hamadou Daoud Ali 17-Ali Dabale Hamad 18-Moussa Ali Hamadou 19-Mohamed Chehem 20-Ali Adab 21-Adlao Awal 22-Moussa Ibrahim 23-Ali Ahmed Ali 24-Mohamed brahim 25-Ahmed Abdallah Mohamed 26-Mohamed Dimbio 27 -Ahmed Abdallah Otban 28-Mohamed Ali Mohamed 29-Abdo Mohamed 30-Ali Hamadou Ali Hida 31-Houmed Ibrahim Ali 32-Otban Ayra Moussa 33-Mohamed Cheik Borris 34 -Ali Mhamed Hamadou 35-Houmed Ibrahim Ali 36-Ali Kamil Horoodo 37-Hamad Mohamed Ali 38-Daoud Ibrahim Afada 39-Mohamed Hamid Hamadou 40-Hawi Rouffa Afsiiro 41-kamil Mohamed Ali 4°) Massacre de Yoboki : février 1992 1-Abdallah Oudoum Hamadou (okal general) 2-Ahmed Moussa Ahmed (Cadi) 3-Mohamed Araita Hamadou 4-Mohamed Adou Roble dit Hali Hali -commercant. 5-Hamadou Ali Hamadou dit Herma 6-Hassan Farah Meeko 7-Abdo bolok Hamad dit kaxxa Abdo 8-Mohamed Bolok Hamad 10-Lako Kabir Houmed 11-Hamad Abakari Said okal de oulouto modayto 12-Halima Med Hassan 13-Moussa Hebano 14-Abdo Hamad , muezin et maitre de l 'ecole coranique 15-Mohamed Hamadou Said 16-Mohamed Goura dit Asbaraytou . 5°) Massacre de Gouroubous -fevrier 1992 1-Ambaro Assowo 2-Abdallah Hamad Mohamed 3-Obakar Mohamed Farah 4-Mohamed Houmed Ali 5-Ali Adrouh Boreto 6-Obakar Ali Araita 7-Abdo Ibrahim 8-Mohamed Ahmed Moussouba 9-Mohamed Houmed Ali dit HARSA 10-Mohamed Ali Hera 11-Gohar Moussa 12-Roble kiou Abdallah 6°) Massacre de Gagade -Allouli septembre 93 . 1-Ali Houmed dit Arkahidaytou 2-Fatouma Ali Hmed 3-Moumina Oudoum Gohar 4-Koudous Moussa dit Ibaado 5 -Ibid Mohamed Adou 6-Madina Moussa Hared . 7°) Massacre de Hanle Aout 92 1-Iyye Ahmed Ali 2-Abdoulkader Ibrahim Moussa 3-Ibrahim Abdoulkader Ibrahim 4-Med Adrouh Borita 5-Borita Adrouh Borita 6-Basoora Ali 7-Wais Halale Hamad Adou 8-Ali Hoobo Guinili 9-Abdalah Ahmed Sabboum 10 Abdo Ibrahim Ibiro 11-Farah Mohamed 12-Mohamed Houmed Golba 8°) District d'Obock 1-Mariam Ebo Mohamed 2-Mariam Houmed Yacin 3-Saleh Ahmed Kassim 4-Abdo Ibrahim Kassim 5-Ali Hamadou Ibrahim 6-Ali Mohamed Ibrahim 7-Fatouma Ali Mohamed 8-Bourhan Gazar Mohamed 9-Mola Omar Mola 10-Mohamed Bourhan 11-Ali Mohamed Ali 12 -Hamadou Kadafo Ali 13-Hasna Mohamed Ali 14 -Mohamed Chehem Ali 15 -Kassim Bourhan Ali Ces listes avaient été publiées dans le journal Le Combat daté du 26 decembre 1993. Ces listes sont incomplètes, car depuis l'accension au pouvoir d'Ismaël Omar Guelleh, les massacres des civils n'ont jamais cessé dans le nord et le sud du pays . Bulduqqo Le 21 Décembre 2015 Les forces gouvernementales (police gendarmerie et militaires) encerclent la tribu YONIS MOUSSA de l’ethnie ISSA qui était rassemble pour une cérémonie traditionnelle. Le feu est ouvert et la fin de la journée l’on dénombre 37 morts et plus de 150 blessés dont plusieurs dans un état grave. N'oublions pas nos morts ! N'oublions pas les noms ni les visages des auteurs de ces massacres. Certains vivent tranqillement à Djibouiti ville et ils ont pris du galon.... ! Cette année, cette 26 ème années de commémoration du Massacre d'Arhiba se déroulera proche du deuxième anniversaire de la commémoration du Massacre de Bulduuqo du 21 Décembre 2015, contre les Yonis Moussa. Mohamed Hassan Fln Xuko Cina ( Baxi nagreh meqem baxo ) Jour 245 du lynchage du Régime Issa de Gouled/Guelleh. Le Cassage Périodique des Afar par le Régime Issa de Gouled/Guelleh continue. Ahmed Mohamed Houmed arrêté arbitrairement à Obock la semaine du 12 Juin 2017. Ouma Mohamed Deberkaleh, l'épouse d'un combattant du FRUD en prison pour un crime d'affiliation marital aux Allentour du 07/05/17. Le Régime Issa de Gouled/Guelleh a procédé à des vague d'arrestations plus de 170 personnes, hommes, femmes, vieillards, enfants. Pas de pitié pour les canards boiteux Afar. Même en ce moment, la chasse à l'Afar et les arrestations continuent des plus belles. Le Sultan Houmed de Tadjourah et son Vizir AHMED en vacance en Belgique sont sous silence radio. Je me demande qui ils représentent. Pourquoi ils ne bronchent pas pour leur concitoyens qui payent leur Qissos " taxes à eux chaque années ou à chaque appel. Le 17, 18 et 21 Avril 2017 des séries d'Arrestations Arbitraires se sont déroulées à Ardo, pétit village de la localité de Tadjourah et à Tadjourah. Selon les informations sûres et concordantes recueillies par la LDDH AHMED DAOUD OMAR arrêté le 18 Avril 2017 et son épouse Madame FATOUMA IDRISS ALI arrêté le 21 Avril 2017 sont toujours détenus dans la Gendarmerie de Tadjourah. Deux autres jeunes de Tadjourah ont été arrêtés le 18 Avril 2017. AHMED OMAR DAOUD MOHAMED ALI HALOYTA. Personne ne sait ce qui leur est reprochés comme pour les autres. La semaine du 22 Mai 2017,une vague d'arrestations est lancée par le Régime ISSA de Gouled/Guelleh. Bien sûr, c'est un autre cas flagrant de l'arbitraire du Régime Issa de Gouled/Guelleh contre les Afar. C'est pour exercer, le cassage périodique que Lynch conseille de pratiquer pour garder la peur constante que le Régime du Dictateur Guelleh doit arrêter ces gens innocents. S'ils avaient fait quelque chose, ils auraient comparus devant la Justice. Cette Dictature n'a même pas de foi en sa propre Justice pour faire comparaître ces gens devant elle. Nous l'avons vu dans le cas de Jabha où la Justice Djiboutienne a demandé qu'on le relâche. Même la Justice du pays dénonce l'arbitraire du Régime Issa de Gouled/Guelleh. Quand est-ce que le Sultan de Tadjourah et Son Vizir vont condamner l'arbitraire du Régime ISSA de Gouled/Guelleh contre ses concitoyens? Ahak Aysuk Mohamed Hassan Fln Xuko Cina ( Baxi nagreh meqem baxo ) |
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