DJIBOUTI
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A Djibouti, la justice a ordonné jeudi 6 octobre la remise en liberté d'un opposant détenu depuis mai 2010. Mais celui-ci reste pourtant en détention. La Chambre d'accusation a en effet annulé l'ensemble de la procédure visant Mohamed Ahmed, dit Jabha, membre du Front pour la restauration de l'unité et de la démocratie (FRUD). Le gouvernement djiboutien l'accuse d'être à la solde de l'Erythrée.....Suite
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Selon les informations recueillies par le responsable local de la LDDH à OBOCK les habitants de la Cité dite « PNUD » de la ville d’OBOCK sont soumis à un blocus d’approvisionnement d’eau potable de la part des responsables d’ONEAD d’OBOCK.
Cette situation dramatique expose des centaines de familles à la soif et ces derniers errent dans la ville d’OBOCK à la recherche d’eau potable auprès des membres de leur famille qui vivent dans d’autres quartiers de la ville. Certes l’été tire à sa fin mais la chaleur persiste toujours avec ses conséquences dans les villes côtières du pays et priver des centaines de personnes de cette denrée si précieuse à la vie qu’est l’eau potable signifie sans commune mesure une condamnation à une mort lente de ces personnes. Selon les personnes qui habitent cette cité c’était le PNUD qui leur offrait jusqu’à présent l’eau et ils ignorent les raisons de leur nouveau calvaire. Sachant que les habitants de cette Cité vivent déjà dans la précarité, la LDDH dénonce et condamne une telle politique qui consiste à assoiffer des centaines de personnes et exhorte les responsables de l’ONEAD d’adopter une approche plus humaine pour résoudre ce problème. Le 2 éme Vice Président MAHDI SAMIREH SOUGUEH A l’abri des conflits qui déchirent la région, Djibouti était un modèle d’émergence dans une Afrique de l’Est tourmentée. Son potentiel n’avait de cesse de faire des envieux, si bien que son dirigeant se voyait déjà à la tête du Dubaï africain. Pourtant, la gestion calamiteuse du pays l’a fait passer à côté de l’essor que tous prévoyaient.....Suite
Dix femmes sont en grève de la faim pour dénoncer les viols à Djibouti à Bruxelles. Ces Djiboutiennes, toutes réfugiées politiques en Belgique ont arrêté de se nourrir depuis plus de deux semaines.… Jour 16: Seizième Jour De La Grève De La Faim Pour les 10 Femmes Djiboutiennes à Bruxelles.5/10/2016 Elles dénoncent les viols des femmes Afar par l'Armée Djiboutienne. Ça fait plus de 25 années qu'elles demandent justice au régime Djiboutien. Elles demandent de traduire les militaires coupables de viols en justice. Le régime d'Ismaïl Omar Guelleh offre protection et impunité aux militaires violeurs. De Djibouti, à Paris et maintenant de Bruxelles, elles crient haut et fort : #stopvioldjibouti ( Stoprapesindjibouti ) #stopImpunite Non à l'impunity Avec le support De Femmes Solidaires Et COFEDVI |
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October 2022
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