Le café que les femmes grillent commence à sérieusement enfumer la petite pièce fermée, mais Falmata* n’en a cure. Il a beaucoup à dire : les jeunes tombés sous les balles de la police ou de l’armée, les terres accaparées pour y construire des usines ou des immeubles dans lesquels il ne mettra jamais les pieds, les votes confisqués lors des dernières élections nationales en 2015. Et, surtout, la corruption. « Tout ce qu’on demande, c’est la liberté », répète le jeune ingénieur, sans laisserses deux amis en placer une. Falmata poursuit. Il a le temps, aucun client ne viendra le déranger aujourd’hui. En savoir plus
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February 2022
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